Carnet de route

Sortie estivale - St Léger - mai 2024

Le 08/05/2024 par Adrien, Eddy, Fanny, Mélanie, Stéphanie, Tiffanie

SORTIE ESTIVALE À ST LEGER


 

Cette sortie a commencé par une surprise : décollage à 7h23 de Montbrison soit une avance de 7 minutes par rapport au top départ prévu. Waaaaouh, ce groupe échapperait-il aux lois de l'inertie ? La suite de l’aventure nous le dira… 

Le trajet a été amélioré par la pause petit déj sur l'aire de l'Avaret (merci Amandine d’avoir su regrouper toutes les ouailles au bon endroit, c’était vraiment pas gagné !) où Jean a eu la gentillesse de partager son thermos de café avec les 30 autres participant.es ou presque ! Première dégustation (et il n’y en aura pas qu'une !) des prouesses gastronomiques de chacun, chacune en pâtisserie : gâteau roulé d'Adrien, barre de céréales de Fanny, madeleines de Guilaine. On entend parler de cookies, mais on n’en voit pas la couleur – premier épisode - (et il n’y en aura pas qu'un non plus). Alors que le départ semblait plutôt organisé, l’arrivée sur le gîte s’est faite de façon échelonnée du fait de l’erreur de sortie d'autoroute des voitures les plus tête en l'air (à votre avis, qui papote le plus ?). Certains ont donc manqué l’apparition en fanfare au beau milieu de la cérémonie du 8 mai devant l’église de St Léger, quel dommage …

 

A l’arrivée au pied du mur, nous avons pu bénéficier d’une merveilleuse explication sur les consignes de sécurité : entre les contradictions de Gilles et Jean ou de Jean et Gilles on ne sait plus, où Gilles nous apprend tout ce qu'il ne faut pas faire et Jean qui ne nous explique pas plus ce qu'il faut faire… Heureusement, Didier a réussi à récupérer nos cerveaux embrouillés. Une fois les règles rappelées (!!!) certain.es ont pris leurs marques pour cette première journée de grimpe : Adrien : “ Et si je tombe là il se passe quoi ?”

Fanny a laissé son maillon rapide dès la première voie au grand damn de Pierre "Enfin ! Il aurait suffit de poser une pédale !" et de Pascal "JA-MAIS j’aurai laissé une dégaine là-haut ! Tout est permis pour passer les filles, mais oui ! On a même le droit de tirer sur sa dégaine, si si ! "

D’autres avaient choisi l'option rando pour attaquer le séjour : "Ben y avait indiqué deux Saint Léger, on a peut être pas pris le bon" dixit Pascal.

Après cette après-midi plus ou moins longue, c’était l'heure de l’apéro (plus ou moins long !) qu'Eddy a commencé bon dernier : “J’ai perdu mon téléphone, je le chercherai à la nuit tombée ça sera plus pratique.” Ah bon tu es sûr ??? 

Heureusement que le pâté de sanglier de Bernard, le petit salé de Pascal, la clafoutis de Stéphanie et le gâteau au chocolat d’Amandine nous ont fait oublier nos mésaventures !  Et pour digérer, Gilles le guitariste nous a offert un concert privé dans une ambiance disco avec boule à facettes. Un grand bravo à lui, belle interprétation de chansons tirées d’un répertoire de chanteurs décédés, même si après vérification : Hugues Aufray est bien vivant (on taira le passage sur les chansons paillardes, il y avait quand même un enfant). 

La soirée s’est terminée pour certain.es entre sapinette et hydromel, pour d’autres en grimpe de nuit sous LE projecteur. Il aura fallu faire le tour du village, chercher dans les petits recoins pour finalement trouver l'interrupteur ! Enfin ! Ne résistant plus, Joanny grimpe en tête pour ouvrir la voie aux motivé.es du soir ! Et pour Eddy, une bonne nouvelle : téléphone retrouvé ! (À priori, dans son sac, du coup c’est vrai que c’était vraiment plus simple de le chercher de nuit).

 

Après une bonne nuit de sommeil, on s’est retrouvé.es au petit déjeuner pour débattre de qui ronfle le plus fort (nous ne citerons pas de noms par crainte de représailles). On s’est régalé.es de nouveau, avec les crêpes (fameuses) de Pascal, merci pour la pâte. Et merci à Corinne  & Cie qui ont pris le gros risque de faire sauter les crêpes ! Distribution des cookies de Romain mais attention  : seulement à ceux où celles qui l’auraient à priori mérité, d'après un système de comptage de points qui reste flou et qui n'est pas fixe suivant l'heure de la journée, la tête du client, la prouesse dans une voie et autres critères ! La vénération du cuisinier permettrait-elle d'obtenir des portions supplémentaires ?

Ce matin (un jeudi de l'Ascension qui portait bien son nom, ah ah !) le groupe avait choisi de revenir aux règles de la vie en collectivité : départ à l'heure comme prévu : 10h, c'est comme 9h non ? On exagère, mais à peine. 

Des courageux (Pascal, Pierre, Chantal, Bernard, Coco et Françoise) partaient faire non seulement le Col du Grand Cucheron en vélo, mais enchaînaient sur un 2ème, sinon c’est pas drôle ! Bravo à eux. 

 

Une autre partie du groupe a choisi de faire la via ferrata de La Passerelle à Hermillon. Partis à 13 et revenus à 13, ouf ! Le nombre ne leur a pas porté malchance, quoi que... Après quelques déboires et 1h30 de randonnée sur des lacets en goudron ou bien dans la forêt… La joyeuse troupe a enfin atteint le début de la via. Le groupe scindé en deux, séparant la mère et l'enfant, a permis à Élodie de vaincre sa peur sans trop se soucier de Tom que Gilles avait pris sous son aile (on espère qu’il avait adapté le répertoire musical du coup !). Jean a fermé la marche avec Agnès. Traversée d'une passerelle à couper le souffle, passage d'une échelle à une autre dans le vide à couper le souffle aussi ! Ils et elles en sont revenus assez fiers et bienheureux de partager un pique-nique sur une table qui n'attendait plus qu’eux !

 

Pendant ce temps, Rémy et Cyril, en VTT, les doublaient dans les fameux lacets de Montvernier (oui mais eux c’était prévu !) puis terminaient dans des aventures de sentiers détournés par des réserves d'eau, de torrents infranchissables et de cueillette d’ail des ours, pour finalement rejoindre le groupe de grimpe, à Hermillon.

 

Et pour celles et ceux qui avaient choisi d'aller grimper, c’est la manip de rappel qui a été travaillée le matin : une fois n’est pas coutume, quelques divergences dans les méthodes de chacun, mais on commence à s’y faire. Entre Romain et Didier en haut de la voie, mais aussi Vincent en bas, la vérification de la manip se fait à 3 voix, et Mélanie au milieu : “Bon du coup je fais quoi maintenant ?”

À noter, une extrême galanterie de la part de Vincent, qui servait ses demoiselles en café chaud pour lutter contre le vent frisquet (il aurait eu droit à plein de cookies si les règles étaient bien faites, mais bon !). Attention Vincent, par excès de gentillesse tu as distrait le groupe ! Sinon, comment expliquer que Fanny ait oublié son reverso pour travailler son rappel, puis qu’elle ait posé son ficelou sur sa vache ? 

Pendant que certains dispensaient les instructions de manip (enfin des versions, mais finalement tout le monde était d’accord, si si !), d’autres encourageaient par des paroles sages et constructives la progression de leur grimpeur : merci à Stéphane : "Alors là, mon conseil, c'est de ne pas tomber. " et à Mélanie pour Vincent, bloqué dans sa voie : "Mais qu'est ce que je fais là ?" “ Continue comme ça c'est très bien !"

On retiendra d’Hermillon, “Air Mignon” notre belle 6A qui partait à gauche mais on aimait bien ça ! On retiendra aussi que sur une slackline on est vraiment tous inégaux. Pendant que certains novices comme notre président font des allers retours impeccables d'autres tombent gracieusement (ou pas) au bout d'un pas : c’est pas juste. Heureusement qu’un atelier d'acroyoga était proposé par Stéphane et Tiffanie pour apaiser les frustrations de certain.es. Hamacs et chaises de camping avaient été installés, parce que l’option tout confort, ça marche aussi en week-end grimpe visiblement !

 

Et comme l’organisation étant le maître mot du week-end, on avait évidemment anticipé les convois de retour des participant.es au nombre de voitures : il n’y avait “que” deux personnes qui ne pouvaient pas rentrer car plus de place dans les deux véhicules restants. Comme on abandonne pas lâchement ses camarades sur le bord de route (ou plutôt en bas d’une voie), on trouve des solutions. Justine a eu droit à un magnifique trône version miniature dans la voiture de Vincent (toujours garder un bout de planche dans son coffre, ça sert !), pendant qu’une stratégie de fusion s'élaborait à l’arrière du camion de Stéphane. On en dira pas plus, mais c’est convivial, l’esprit CAF !

 

Retrouvailles du groupe au gîte autour d'un apéro fort abondant, entre diverses quiches, houmous, terrines, coppa et saucisson. Joanny, chef cuistot du soir, nous a préparé un repas original : wraps de poulet au curry. Repas qui en a déstabilisé quelques-uns, un cours de pliage s’est parfois imposé, avec plus ou moins de succès en termes de résultats !

S'en suivit la farandole de desserts : entre le gâteau soit disant brûlé (mais délicieux) de Elodie,  le quatre quart de Justine - qu'on aurait presque dit que c'était pas elle qui l’a fait tellement qu'il était bien emballé dans son sachet plastique - le kouglof de Jean, et le gâteau de presque Gilles vu que c'est sa femme qui l'a fait mais que c'est lui qui l'a coupé !

Merci à Stéphanie pour la verveine qui nous a aidé à digérer ! 

 

La soirée s’est déroulée entre partie de tarot (Eddy a gagné, vu qu’il avait pas perdu son téléphone ce soir là !), observation des étoiles où chacun.e a pu s'improviser astronome : certain.es en aurait appris beaucoup sur l'altitude comparée entre les satellites et les étoiles, mais aussi sur la formation des trous noir et sur le big bang. En fait c'était vraiment multi activités ce séjour ! La preuve : on a même pu faire une initiation aux “Milles bornes”, enfin plutôt le “Plus de bornes possibles avant minuit parce qu’après on va se coucher”.

Puis tout le monde au lit, certains (Cyril, Rémy, et Manon) se levaient le lendemain à 5h pour aller faire du ski de rando (à priori la neige était super, n’est ce pas ?). 

 

Dernier jour pour terminer en beauté : 

Initiation à la grande voie par notre grand sage : Didier, qui a seniorisé avec tellement de patience ses deux cordées de chatons, et qui est venu au secours de tellement d'autres. On retiendra l’essentiel : le cri de la cordée à l'unisson pour tomber les cordes. 

À la question : “combien faut-il d'ouvreurs pour poser un relais ?” Nous répondrons après concertation qu’il en faut au moins 10 : 1 qui le pose et 9 qui lui disent "aaaaaaah ben moi j'aurai pas fait comme ça !!!"

Et à la question : est ce qu'il vaut mieux apprendre le noeud de cabestan en bas des voies ou directement au relai, supervisé par Stéphane qui, trop malheureux d'avoir penser à prendre son Reverso, préfère le jeter en bas de la falaise pour "apprendre se débrouiller sans" ? On laissera Tiffanie répondre car elle seule a eu la chance de vivre cette expérience …

 

À 17h c’était le spectacle tant annoncé, et tant attendu (parce que 15h, c’est bien 17h, non ?). D’abord le vol sur coinceurs de Joanny : "Ah ben ça tient pas !". La moitié du public regardait le jonglage de Gilles et Stéphane au moment du fameux vol, la foule s'écriant "Oooooooooooh tu peux refaire Joanny on a pas bien vu !”. Puis mise en jeu de la vie d'Eddy (le kit à suture à failli servir) lors de la démonstration de vélo trial de Romain. Ouf, deux casques étaient posés aux endroits les plus précieux du corps d'Eddy ! Question au référent de séjour :  le CAF prend-il en charge les frais de chirurgie esthétique liés à un éventuel coup de pédale mal placé ?

Nota bene : Romain, huile tes freins, tout le monde a flippé.

 

Merci à notre photographe officielle Mélanie pour la photo de fin de séjour (enfin il y avait aussi Vincent mais comme il a pas WhatsApp ça compte pas) : “Si si, vous faites 10 pauses en 10 secondes je vous assure !” Visiblement personne n'a vraiment compris la consigne mais les photos sont réussies ! C’était l’heure du départ pour une partie du groupe qui quitte le site dans des adieux déchirants. 

Moralité : on serait tous restés 2 jours de plus. 

 

PS: au troisième jour, on mentionnait toujours les cookies mais on ne les voyait plus, était-ce une arnaque ou une hallucination collective ?

 

Véritable moment « relai » du séjour, certains ont donc pris un rappel à la réalité à contre-cœur, tandis que d'autres ont prolongé la cordée pour 2 jours bonus. Le vide et calme envahissant l’arène et la fatigue se faisant, la troupe s’organise autour d’une pétanque où bien sûr la discussion a commencé dès le tirage au sort des équipes. Gilles nous livre son secret pour faire des étincelles : « y croire »… et ça marche ! L’égalité des parties a contenté tout le monde sur un air de reggae.

Puis chose sérieuse… Un repas sur le pouce nous fait rendre compte de la réservation de Jean pour le resto à côté, à l’insu du plein gré du groupe restant. Merci Jean, on ne t’en veut pas : voir ton grand sourire satisfait d’une organisation rondement menée et sans couac était largement suffisant pour que l’on organise nos activités du lendemain autour de ce rendez-vous. On tient l’engagement !

Il faut dire que nos anciens du groupe reviennent à la charge avec la proposition émise la veille : une grande voie toute simple en difficulté permettrait de mettre en pratique ce que certains révisent depuis un mois sans application faute de pluie, à d’autres de s’aguerrir, à d’autres de ne pas monter un col sur un vélo sans selle. Vendu ! Les clients sont là. Sur l’orga, à l’ancienne : on verra demain !

Pour l’instant, la boule a facette est de nouveau sortie, Gilles tient la baraque, ce soir le registre s’étend de Servat, Brassens à Perret, toujours avec des textes paillards qui quand ça va trop vite sont sous titrés par Bernard et Google. Les plus jeunes reconnaissent ces titres repris par les ramoneurs de menhirs, Sinsemilia et les Ogres de barback. Ça suffit à rallier tout le monde dans ce même univers. Une tablée de jeu et discussions secondent la soirée.

Au matin, Céline et Gilou nous rejoignent.

Un groupe constitué de Céline, Manon, Rémi, Joanny et Corentin part trottiner un petit parcours alpestre de 20km, 1400D, qui demandera à certains de réguler leur allure pour sortir des sentiers feuillus et abandonnés.

Un autre groupe constitué se planifie une rando environnant le Col du Grand Chat ! Miaou ! Presque à 2000m les pieds tout juste dans la neige en cette année pauvre en la matière (Rémi, on ouvre le débat)… Les paysages sont magnifiques.

Enfin un groupe de sangliers Foréziens se dirige vers « l’Africain » à Saint Martin de la porte. Grande voie de 7-8 longueurs du 4 au 5B et 3 rappels. Mais les sangliers sont dyslexiques, ne sachant plus leur droite de leur gauche, ils ont bien besoin des marcassins pour savoir que l’on lit la rive (gauche ou droite) d’une rivière toujours dans le sens de l’eau ! L’erreur d’orientation met 1h30 de retard au top départ ; mais a cependant permis de lorgner sur un autre site de grimpe semblant bien exigeant.

Petit saut de vallée en voiture et en bon sangliers, le chemin du départ de la voie est retrouvé non pas sans une petite errance en forêt…. 3 cordées de 2 avec en tête le binôme Cyril-Romain, puis Pascal-Eddy et Pierre-Gilou. Hâte d’en découdre, les deux premières longueurs sont faites en une manip. Puis alternance ouvreur/assureur pour monter sur le long d’une crête, une fois, deux fois. Passage calme qu'empruntent les chamois, (vus d’ailleurs le matin depuis l’autre côté de la vallée). Un petit peu d’ombre avant un passage vertical, idéal pour la pause céréales qui fait se rendre compte à Pierre que les clefs ont sauté de la poche du sac à dos ouverte… Mais où ? Et quand ? Au pied de la voiture ou au pied de la voie ? Rien à faire d’autre pour l’instant qu’avancer mais tranquillement et en prenant le temps d’être sûrs de ce que l’on fait. Encore une histoire de pieds, cette fois de chêne, de dégaines et de cordes tendues et les voilà enfin vers les rappels mal indiqués. C’est quand même bien les topos ! Le second rappel de 45m en toile d’araignée fait chauffer le ficelou, le descendeur et les mains de Romain à l’arrivée. Tandis que Eddy reste suspendu là-haut et récupère la corde « ferrate » pour optimiser le temps sur le passage suivant.

Et voilà cette grande voie terminée, le groupe déjà éparpillé à la recherche de la clef de voiture au milieu des bois direction pied de voie, puis à la voiture. Rien. Rien, sinon un crâne de chamois de plus pour le tableau de bord collector de Joanny.

Pour rentrer à bon port le petit groupe profite du camion de Gilou qui offre à Cyril, Eddy et Romain une table canapé dans un espace confiné où le taux d’oxygène a dû descendre assez bas, rendant les bonhommes transpireux avec un teint changeant du rouge donné par le soleil au blanc de l’ambiance secousse métro.

Arrivés au gîte, les collègues ont repris des forces et sont au mur à grimper, à 100 m il faut dire: “rien de plus pratique !”. Les tables à l’ombre au pied des voies permettent de se rassembler entre grands sourires et questions sur l’organisation du retour de tout le monde. Tout est bien géré et affiché sur le frigo. Pause rafraîchissement grandement appréciée, l’inertie était encore là pour se mettre à table. Valeur respectée ! Soirée tranquille conclue par tisanes et rhum arrangé ananas.

Dimanche matin sur les chapeaux de roue pour Pierre qui décide d’emmener Coco et Chantal retrouver les clefs en faisant de nouveau le parcours. Sait-on jamais ?! Peine perdue malheureusement malgré l’orientation plus aisée. Au moins, Chantal a pu faire un rappel à proximité d’un chamois.

Roue crevée en revanche au départ d’une virée en vélo direction les lacets du MontPascal pour l’homme qui a un mont à son nom accompagné de Bernard. Françoise, elle, choisit le farniente ! Une parfaite gestion de la crème solaire, merci !

Enfin roue de la fortune pour Romain qui tente une nouvelle négociation avec le gérant du gîte afin d’obtenir tous les ingrédients de recette des fameux cookies !

Le reste, occupé au premier rangement abandonne vite la tâche pour retourner au pied du mur quelques voies montant avec un second relais sont réalisées « La  Mondeuse » et  «Diot Polenta» résonnent avec l’arrivée de Manon et Rémi plein de diots (natures, fumés et pormoniers) dans le sac à dos de retour de balade vélo (si si en mode balade !), tout prêt pour un barbecue des familles !

Le bagou de Romain avec une énième négociation lui permettra d’obtenir les fameux ingrédients et de se mettre en piste pour la préparation, sans feu pour allumer le gaz ! Une joyeuse tablée se fait au pied des voies, bien récompensée d’un dessert servi par le chef et son casque !

On se remet à grimper, encore, quelques derniers objectifs en vue sont à réaliser. La tablée est relayée par Pascal et Bernard, puis par le trio de retour de l’Africain. Les aller-retours se font entre les voies, ronflements et rangement du gîte. On met du temps, c’est le bazar organisé, on n’a pas envie de partir, un soi-disant groupe arrive… Vite !

On reste sur « le fil du rasoir » et dans « l’enfer du décor » que nous avait brillamment illustré Fanny deux jours auparavant. Un « casse-tête » pour Joanny, « Digitale » pour Romain et « les mains sales » pour Cyril nous font arriver vers un chargement rondement mené.

Tout le monde est heureux, vivement la prochaine !

Ravito, puis retour sur terre. Les bouchons, on les a vu seulement bien scellés sur les bouteilles. La pluie est de retour elle aussi sur le parking de la gare !

Merci Jean d'avoir proposé si spontanément d'organiser la sortie de l'an prochain !  T'inquiète pas on a tous le Pass grimpe ! En vrai, Jean, sans toi, rien de tout cela ne serait arrivé. Merci aussi à Joanny qui a mis de son énergie dans l’organisation. Un si beau mélange de générosité et d'inconscience totale, il n'y a pas de mot pour en faire l'éloge. Pour vous, 1, 2, 3, CORDE ! 


Lien vers l'ensemble des photos de Mélanie : https://photos.app.goo.gl/HLfUb6G3nvL578oe6

Adrien, Eddy, Fanny, Mélanie, Stéphanie, Tiffanie

 
CLUB ALPIN FRANCAIS MONTBRISON
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